Mon visage d’insomnie

Ouvrage publié avec le soutien de la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée et des Journées de Lyon des Auteurs de Théâtre.

  • La pièce est lauréate des Journées de de Lyon des Auteurs de théâtre 2021.
  • La pièce a reçu l’aide à la création d’Artcena au printemps 2021.
  • Pièce recommandée par le comité de lecture de Eurodram 2022.

Date de publication

2022

Éditeur

Détails

13x21cm, 128 p.

ISBN

978-2-84705-273-2

Presse

«  Thriller onirique en gris, parabole peut-être sur nos vieilles sociétés paranoïaques où l’on craint un gamin parce qu’il vient de loin et où ne reste plus aux êtres vraiment humains qu’à disparaître ou à construire des Atlantides, Mon visage d’insomnie obsède le spectateur. Comme un rêve sombre aux allures de carnages.  »

Laura Plas , Les Trois coups , 19 juillet 2022

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«  L’écriture de Samuel Gallet a su poser ses personnages dans une situation originale et développer son intrigue en laissant planer les doutes jusqu’aux dernières minutes.
Ses dialogues qui, sous l’apparence de la quotidienneté, se révèlent riches de non-dits, de silences et d’esquives, distillent scène après scène autant de doutes que de certitudes. Un véritable art du suspens est ici mis en œuvre intriguant autant les personnages que les spectateurs.
Mais l’intelligence de son texte ne s’arrête pas à la forme, la situation où il fait se dérouler sa trame donne à son texte une envergure beaucoup plus vaste et une matière plus touchante, plus profonde. »

Bruno Fougniès , La revue du spectacle , 24 mai 2021

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« pièce captivante (…)
L’idée est géniale, l’interprétation solide et la mise en scène riche.
Une trouvaille d’écriture assure le mille-feuille de l’intrigue ; l’exclusion de ces âmes invisibilisées et fragilisées par une société qui les craint est racontée par le subterfuge en creux de l’image du sociopathe désarmé devant une société qui veut ne rien en savoir.
Par cet artifice fictionnel, la pièce interroge la fureur de vivre d’une jeune génération migrante et sa détresse face à une société qui, pour les effacer, les infantilise et qui, pour les contrôler, exige de penser à leur place.
Par un effet miroir, la dialectique entre l’attraction et la répulsion trouble la psyché d’un sociopathe meurtrier, et renvoie à nos propres dilemmes devant ces hommes bravant la mort pour s’assurer une autre existence.  »

David Rofé-Sarfati, Toute la culture , 27 mai 2021

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